ESSAY Magazine (An International Journal of Sexaholics Anonymous)

ESSAY August 2025 - Mein höheres Selbst - Nathalie V., Mortsel, Belgien

Die Zeit, in der sie Single und nüchtern war, hat es ihr ermöglicht, den Willen der Höheren Macht für sich zu erkennen.  
Ich bin nun seit mehreren Jahren trocken und habe meine ersten Schritte in Richtung Genesung gemacht. Mit „Genesung” meine ich nicht nur, die Schritte zu bearbeiten, sondern dass ich mich buchstäblich „erhole”. Ich spreche von Heilung und Wiederherstellung.

ESSAY August 2025 - Glücklich, froh und Single: Ist das, wie es geht? - Ein anonymer Bruder aus Russland

Ich habe mich von meiner letzten Freundin getrennt, als ich nach einer  zweijährigen Beziehung zum Programm kam. Der Grund war mein  schockierendes Eingeständnis der Wahrheit über mich selbst - dass ich sie  benutzte und versuchte, Selbstwertgefühl auf ihre Kosten zu finden, Lüsternheit  zu befriedigen und mich nicht einsam zu fühlen. Diese Erkenntnis war  schmerzhaft, aber ehrlich und daher heilsam.  

ESSAY August 2025 - Heureux, joyeux et célibataire : C'est comme ça que ça se dit ? - Un frère anonyme de Russie

J'ai rompu avec ma dernière petite amie lorsque j'ai rejoint le programme, après deux ans de relation. La raison était mon aveu choquant de la vérité sur moi-même : je l'avais utilisée pour trouver une estime de moi-même à ses dépens, satisfaire mes désirs sexuels et ne pas me sentir seul. Cette prise de conscience était douloureuse, mais honnête et donc salutaire.

ESSAY August 2025 - Être vraiment satisfait - Lee F., Chicago, Illinois, USA

Il a découvert que le célibat lui permettait de consacrer toute sa vie à Dieu.
Ce n'est pas un conjoint qui m'a inscrit à ce programme. Je m'y suis inscrit de mon plein gré. Je n'ai pas besoin d'être découvert ou exposé parce que j'ai la possibilité de m'exposer et de me découvrir ici en toute sécurité et en contact avec d'autres, unis dans la fraternité à travers le monde. Il se peut que je ne me marie jamais. Il est possible que je vive une vie néo-monastique dans la pratique spirituelle et la connexion avec d'autres personnes sous l'égide de Dieu à travers la planète, et je suis d'accord avec cela. J'ai encore beaucoup de peine, mais la peine, lorsqu'elle est pleinement assimilée, devient sagesse.

ESSAY August 2025 - L'Idole d'or en miettes - Joe S., Ohio, USA

En réparant le passé par la pratique du Programme, il a trouvé la liberté d'être célibataire.
Tout au long de ma dépendance à la luxure, les relations romantiques sont devenues un veau d'or pour moi. Je pensais qu'une petite amie attirante et émotionnellement compatible me comblerait et me compléterait. Avoir une petite amie est devenu un fantasme persistant, mais chaque fois qu'une femme disait oui à ma proposition de rendez-vous, je fuyais la relation dès qu'elle prenait son envol. J'étais trop immature sur le plan émotionnel pour partager mon cœur avec quelqu'un d'une manière qui soit un tant soit peu désintéressée ou saine. J'avais peur que la femme découvre qui j'étais vraiment. Pour me protéger du rejet, comme un parachutiste sautant d'un avion qui s'écrase, je quittais la relation dès qu'elle prenait son envol, me réfugiant dans ma dépendance, où je pensais que je ne pourrais jamais être blessé. 

ESSAY June 2025 - A Pillar in SA History - Sponsees, Grandsponsees, & Friends of Sylvia J.

Sylvia participated in the early history of Sexaholics Anonymous (SA) and was a primary figure in the development of SA’s current service structure.
Jesse L. Brings SA to Oklahoma City: Sylvia joined SA in 1983. At that time, it was popular to be in a 12 Step program. She went to Al-Anon, Overeaters Anonymous, and many open AA meetings. She heard them talk about alcohol addiction and said, “I have the same problem with sex.”

ESSAY June 2025 - Good Grief - Jack H., California, USA

In my memory, the expression “good grief” was a common expletive of the cartoon characters in Peanuts. For much of my life, I used “good grief” to express astonishment, dismay, and frustration, never considering the deeper truth hidden within the euphemism. Before I entered the SA program (10/21/1998), I lived with an accumulation of frozen grief. Only after a couple of journeys through the steps did I begin to understand and embrace the benefits of grieving. I realized that journeying through grief was healing and good for me.

ESSAY June 2025 - In Sylvia’s Own Words - Sylvia J., Oklahoma, USA

by Sylvia J. (at six years SA sober) with the original 1989 title
Reprinted in Member Stories 2007, pages 120-123 with the title “The Only Way I Knew”
When I was a little girl, about five years old, I remember sitting on my grandfather’s lap and combing his hair. It gave me such happy, good feelings. My grandfather died when I was seven. From that time on, I had trouble in school. I couldn’t concentrate, I would daydream, and I had headaches. I was a lonely child after I lost that special relationship. I didn’t know how to get love like that from anyone else. So, I comforted myself in my fantasies where I was a fairy princess. My Prince Charming would come and carry me off. We would live in the land of happiness forever doing wonderful deeds and sharing our love.